Arnaldur Indridason met tous ses talents d'auteur de roman noir mondialement reconnu, sa maîtrise de l'intrigue, du découpage, du rythme de l'action ainsi que du suspense, au service d'un grand roman historique et d'une oeuvre littéraire magnifique sur la paternité et sur les relations des hommes qui ne savent pas se parler.
Au XVIIIe siècle, l'Islande est une colonie danoise, gérée par les représentants de la Couronne qui souvent usent de leur autorité pour s'approprier des biens, en profitant en particulier des lois qui condamnent les adultères à la peine de mort. Le roi Christian VII, considéré comme fou et écarté du pouvoir, traîne sa mélancolie à travers son palais jusqu'au jour où il rencontre un horloger islandais auquel a été confié un travail délicat. Une amitié insolite va naître entre les deux hommes. À travers la terrible histoire du père de l'horloger, le souverain va découvrir la réalité islandaise et se sentir remis en cause par la cruauté qui s'exerce en son nom.
Des ateliers du palais aux intrigues de la cour et aux bas-fonds des bordels de Copenhague, nous accompagnons ces héros dans leur recherche tragique et vitale.
Un grand roman captivant et violent qui émeut le lecteur et le trouble en un crescendo qui va le laisser ébloui et inquiet devant la complexité du monde des sentiments que nous révèle Arnaldur Indridason.
Avec Six Versions , Matt Wesolowski renouvelle le genre du thriller par un dispositif génial. Entre hyper réalisme et fantastique, il joue avec nos nerfs. Chacun se prend pour un détective jusqu'au dénouement final, époustouflant.
Un soir d'août, sur les pentes sauvages de la montagne écossaise, Tom Jeffries, quinze ans, disparaît. L'été suivant, son corps est retrouvé dans les marécages. Accident ou crime ? Le doute subsiste.
Vingt ans plus tard, dans son célèbre podcast " Six Versions ", Scott King donne la parole aux témoins pour tenter de résoudre l'énigme. Les adolescents ont grandi. Ils racontent et leurs souvenirs se contredisent : leur exploration de la mine désaffectée, leur découverte de l'alcool et de la marijuana, l'histoire de Nanna Varech, la créature fantastique qui hanterait ces lieux, leurs jeux cruels avec les habitants les plus étranges du village...
Qui dit vrai ?
Gröna Lund, parc d'attraction incontournable de Stockholm. Entre manèges à l'arrêt et obscurité angoissante, une boîte transpercée d'épées contenant un corps de femme est retrouvée. Pour la nouvelle enquêtrice Mina Dahbiri, l'affaire dépasse les compétences de la police. Vincent Walder, expert en mentalisme et en communication non verbale, accepte de lui prêter main-forte. S'agit-il d'un tour de magie qui a mal tourné ou d'un tueur machiavélique?? En complément de leurs talents, une visite dans les archives policières devrait aider le duo à trouver des réponses...
1917. Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, un homme est retrouvé mort dans une cave du village de Haut-de-Coeur, en Bourgogne. Pas mort d'un excès de froid, de faim ou de vin, comme d'autres, mais proprement égorgé.
Ici, bon nombre des habitants ont grandi sans autre père et mère que les religieuses du majestueux couvent des Ursulines. C'est le cas de l'inspecteur de police Matthias Lavau : recueilli tout petit par le couvent, il est parti faire ses armes à Paris et à Lyon avant de finalement rentrer au bercail. Son talent ? Il se souvient de tout, tout le temps. Une mémoire parfois lourde à supporter, mais dans ses enquêtes, un atout précieux.
La victime aussi est un ancien des Ursulines : Thomas Sorel, bien connu dans les alentours, et presque unanimement détesté... C'est le bras armé du très redouté maire. Beaucoup ont souhaité sa mort, pour des raisons valables, le plus souvent.
Dans l'atmosphère crépusculaire de l'hiver interminable qui s'est abattu sur la région, Matthias et son assistante Esther vont devoir démêler les racines du Mal, entrelacées depuis des décennies et profondément plantées dans les passions, les vices et les secrets de Haut-de-Coeur.
Audrey Brière a 37 ans et vit en région parisienne. Les Malvenus est son premier roman.
Mathurine travaille à la protection de l'enfance. On lui confie un signalement concernant un garçon de dix ans, légèrement handicapé, Darwyne Massily. C'est à Bois Sec, un bidonville gagné sur la jungle infinie, que vivent Darwyne et sa mère Yolanda, une beauté qui collectionne les conquêtes. Malgré des apparences rassurantes, Mathurine a l'intuition que quelque chose ne tourne pas rond dans cette famille. Dans ce roman où s'exprime magistralement sa plume expressive, Colin Niel nous emporte vers l'Amazonie, territoire d'une puissance fantasmagorique qui n'a livré qu'une part infime de ses mystères. Darwyne, l'enfant contrefait qui ferait n'importe quoi pour que sa mère l'aime, s'y est trouvé un refuge contre le peuple des hommes. Ceux qui voudraient qu'il soit comme les autres.
Avec ce roman, Colin Niel revient en Amazonie ; il s'empare d'une figure connue dans tout le domaine amazonien, le Maskilili, une créature enfantine qui a la particularité d'avoir les pieds à l'envers.
Une jeune femme est assassinée après un rendez-vous pris sur un site de rencontres. Les violentes marques de morsures dans son cou laissent les enquêteurs sans voix. Deux jours plus tard, le corps d'une autre utilisatrice de ce site est découvert, mutilé de la même façon. Pour le chef de la police, un seul homme peut identifier ce tueur. Mais Harry Hole, libéré de ses démons et heureux avec son épouse, s'est promis de ne plus mettre les siens en danger. Malgré tout, un détail de cette affaire l'intrigue, comme un écho d'une enquête classée depuis longtemps. Le destin le place face à un dilemme:mener une vie paisible et tirer un trait définitif sur son passé, ou arrêter enfin le seul criminel qui lui a échappé et qui continue de le hanter...
Fantasme ou réalité ? Avec Six Versions, Matt Wesolowski renouvelle le genre du thriller par un dispositif génial. Entre hyper réalisme et fantastique, il joue avec nos nerfs. Chacun se prend pour un détective jusqu'au dénouement final, époustouflant.
2014. Lors d'une soirée glaciale de novembre, dans une petite ville du nord-ouest de l'Angleterre, Arla Macleod tue sa mère, son beau-père et sa soeur cadette à coups de marteau. Le drame inexpliqué est désormais baptisé la Tuerie Macleod.
2018. Internée dans un hôpital psychiatrique, Arla accepte de se confier à Scott King, auteur du célèbre podcast Six Versions.
À mesure que le journaliste interroge ceux qui ont connu Arla dans son adolescence et tente de déterminer sa part de responsabilité dans le massacre, il plonge dans un monde trouble : celui des jeux interdits et mortels ; celui des trolls infestant la Toile ; celui des mystérieux " enfants aux yeux noirs ", qui semblent bien plus réels que dans les fantasmes d'Arla.
Quand Thibault débarque à Planoise, quartier sensible de Besançon, il est loin de se douter que la vie lui réserve un bon paquet de shit. Conseiller d'éducation au collège, il mène une existence tout ce qu'il y a de plus banale. Sauf qu'en face de chez lui se trouve un four, une zone de deal tenue par les frères Mehmeti, des trafiquants albanais qui ont la particularité d'avoir la baffe facile. Alors que ces derniers se font descendre lors d'un règlement de comptes, Thibault et sa voisine, la très pragmatique Mme Ramla, tombent sur la cache de drogue.
Que faire de toute cette came ? Lorsque notre duo improvisé compare ses fiches de paie avec le prix de la barrette, il prend rapidement une décision. Un choix qui pourrait bien concerner tout Planoise.
Après «Extorsion», James Ellroy raconte la suite des confessions de l'abominable Freddy Otash, maître chanteur, voyeur et proxénète, un concentré d'humour noir inspiré par la vie du véritable Freddy Otash. Pour tout savoir sur les turpitudes d'Hollywood, réelles ou inventées!
Marc Montroy, journaliste et métis, enquête sur le scandale du Chlordécone (Kepone) pour L'Écologue.
Utilisé dans les Antilles françaises de 1972 à 1995 pour traiter les bananeraies, ce pesticide a pollué des terres et des eaux à la biodiversité unique. Avant de se rendre en Guadeloupe, Marc part en Virginie, à Hopewell, la « capitale de la chimie ». Le professeur Ashland l'encourage à orienter ses investigations du côté de « Farma », une société basée au Brésil et dirigée officieusement depuis les Antilles françaises.
Peu de temps après, Ashland est victime d'une agression fatale. Marc apprend le cancer de Célio, son père, inspecteur aux douanes de Point-à-Pitre. Son cancer serait vraisemblablement dû au chlordécone.
Max, l'ami indépendantiste de Célio, voit là l'oeuvre des riches Békés et des Blancs Péyi qui s'en prennent une fois de plus aux descendants d'esclaves noirs.
Lorsque Célio est assassiné, Marc et Max, sont loin d'imaginer l'engrenage infernal dans lequel ils viennent de tomber.
Tout le monde dit d'Ava qu'elle est un monstre.
Tout le monde sauf Ava.
Après vingt-cinq ans passés derrière les barreaux, celle que l'on surnomme « l'Oiseau boucher » est désormais libre. Enfin, libre, un bien grand mot pour cette quinqua qui doit désormais rendre des comptes réguliers à une conseillère désabusée, remettre ses émotions entre les mains d'un psy aigri et vivre sous une fausse identité dans une ville qu'elle ne peut quitter.
Heureusement, il y a Bill, son gentil voisin, un ancien SDF qui tente de se racheter auprès des siens. Un ami pour Ava, peut-être plus. Après tout, elle a payé sa dette, elle a droit au bonheur et rien ne saurait l'empêcher d'en profiter enfin.
Mais quelqu'un l'a reconnue. Un corbeau qui la menace, la pourchasse, réclame vengeance pour ses victimes. Qui peut bien être assez fou pour réveiller l'Oiseau boucher ?
Avec une prose qui évoque Lionel Shriver, Lucy Banks plonge son lecteur dans la psyché d'un personnage aussi fascinant qu'effrayant. Un roman noir très noir, intense et sidérant qui aborde de l'intérieur l'insécurité émotionnelle, l'humiliation et la folie.
Une série de crimes hors-normes se produit à Vilnius. Des jeunes filles sont retrouvées mortes, nues, un oiseau déposé sur leurs cadavres. Toutes avaient récemment accouché et l'assassin avait tété leur sein gauche.
En lisant Jaroslav Melnik, Freud aurait bu du petit lait...
Après "Macha ou le IV e Reich", Jaroslav Melnik est de retour avec un polar singulier et profondément perturbant qui interroge l'amour maternel, la dépendance et les croyances auxquelles on se raccroche.
Aoyagi Takeaki, un homme d'une cinquantaine d'années, est assassiné au pied de la statue du dragon ailé qui orne le pont de Nihonbashi, à Tokyo. Une enquête apparemment simple pour l'enquêteur Kaga, fraîchement arrivé au commissariat d'un quartier d'affaires prospère de la capitale. Mais les apparences sont parfois trompeuses : comment servir la vérité lorsque le suspect numéro un s'avère innocent ? Dans ce roman qui traite d'un aspect sombre du Japon, le statut des précaires, Kaga fait preuve de la même perspicacité et du même humanisme que dans "Les Doigts rouges" et "Le Nouveau".
Sur les routes de l'enfer...
Ça hurle, ça cogne dans la tête de Franck. Six mois que sa fille est morte dans un braquage à Belleville. Six mois qu'il attend l'arrestation du coupable. Mais rien, aucun suspect, aucune piste, et les flics semblent avoir lâché l'affaire.
Alors Franck ratisse les bas-fonds de Paris, finit par trouver un vague indice. Il largue tout et embarque dans sa R5 pour un trip halluciné à la recherche de sa proie : un tox' avec un tatouage « Anarchie ».
Jusqu'où iriez-vous pour venger la mort de votre enfant ? Franck, lui, va loin, très loin, jusqu'en Amazonie, pour traquer un meurtrier parti racheter sa conscience dans un mystérieux camp de hippies. Mais dans cette jungle où la violence est partout, la folie de Franck va se heurter à des âmes plus extrêmes encore...
« Avec Daquin, le lecteur plonge dans cette vague raciste qui nous rappelle que l'Histoire se répète à l'infini ».
TÉLÉRAMA.
Le jeune commissaire Daquin vient d'être nommé à l'Évêché, l'hôtel de police de Marseille où règne l'Omerta en cette année 1973. La ville connaît une série d'assassinats ciblés sur des Arabes. On leur tire dessus, on leur fracasse le crâne. Entre nervis de l'OAS, récemment amnistiés, et une guerre d'Algérie encore présente dans toutes les mémoires, le contexte n'est guère porteur pour une enquête sur des crimes que beaucoup ne veulent pas voir qualifiés de racistes...
Macha-des-Oyats, 107 ans, vit dans le « monde de la Douceur ». Née au tout début du XXIème siècle, c'est l'une des dernières personnes à avoir connu l'époque ultraviolente et morose du « monde de la Fin ». Macha raconte sa jeunesse solaire et rebelle, son amour perdu, sa fuite vers un idéal... Un éclairage sans fard sur notre époque. Un roman noir à méditer.
« Ici, on a tous du sang indien et quand ce n'est pas dans les veines, c'est sur les mains. »11 juin 1981. Trois cents policiers de la sûreté du Québec débarquent sur la réserve de Restigouche pour s'emparer des filets des Indiens mig'maq. Émeutes, répression et crise d'ampleur : le pays découvre son angle mort.Une adolescente en révolte disparaît, un agent de la faune démissionne, un vieil Indien sort du bois et une jeune enseignante française découvre l'immensité d'un territoire et toutes ses contradictions. Comme le saumon devenu taqawan remonte la rivière vers son origine, il faut aller à la source...Histoire de luttes et de pêche, d'amour tout autant que de meurtres et de rêves brisés, Taqawan se nourrit de légendes comme de réalités, du passé et du présent, celui notamment d'un peuple millénaire bafoué dans ses droits.Fascinant... La littérature est là à son meilleur, dans sa capacité à croiser une multiplicité de regards et de discours. Chapeau ! Michel Abescat, Télérama.Une pépite ! Un roman noir, un récit historique, un pamphlet politique... Un livre qui refuse d'être figé ! Augustin Trapenard, 21 cm, Canal +.Un western moderne et mordant... Plamondon tresse réel, fiction et analyse critique avec une célérité et un parti pris non dissimulé. Ingrid Merckx, Politis.
Ce roman est construit sur des va-et-vient entre trois périodes temporelles : 1965, où l'on voit évoluer deux flics, un Blanc, Stan Walczak et un Noir, George Wildey, dans le Philadelphie des émeutes raciales et des trafics d'héroïne ; 1995 : Jim Walczak, le fils de Stan, devenu policier à son tour, est hanté par le meurtre de son père, un crime resté irrésolu ; 2015 : Jimmy est retraité mais ses deux fils sont policiers et sa fille - une enfant adoptée, la rebelle de la famille - finit des études de médecine légale. Elle décide de résoudre le meurtre de son grand-père, et ainsi de faire littéralement exploser le récit officiel qui détermine les liens entre les trois générations depuis un demi-siècle. Duane Swierczynski n'a pas son pareil pour maintenir la tension sans jamais la laisser retomber.
Robe de marié, Cadres noirs, Trois jours et une vie, Le Serpent majuscule. Quatre fictions indépendantes, quatre univers contrastés, quatre tonalités stylistiques. Dans tous, la faute commise ou l'injustice subie agit comme une bombe à retardement. Une mécanique de précision. Le choc en retour sera terrible : folie, vengeance, meurtre. Méfiez-vous des déclassés, des rejetés, des persécutés. Ils n'oublient rien.
Les mordus du genre y trouveront leur compte de vérités cachées, d'investigations, de révélations. Les autres y liront du Lemaitre chimiquement pur. Tonino Benacquista
Parce qu'une jeune Norvégienne a été sauvagement jetée d'une falaise à l'autre bout du monde en Australie, l'inspecteur Harry Hole de la police d'Oslo est envoyé sur place par une hiérarchie soucieuse de l'évincer. Ce qui n'aurait dû être que routine diplomatique va se transformer en traque impitoyable au fur et à mesure de meurtres féroces qu'Harry Hole refuse d'ignorer. Autre hémisphère, autres méthodes... Associé à un inspecteur aborigène étrange, bousculé par une culture neuve assise sur une terre ancestrale, Hole, en proie à ses propres démons, va plonger au coeur du bush millénaire. L'Australie, pays de démesure, véritable nation en devenir où les contradictions engendrent le fantastique comme l'indicible, lui apportera, jusqu'au chaos final, l'espoir et l'angoisse, l'amour et la mort : la pire des aventures.
Septembre 1944 : partisans de De Gaulle et de Staline rivalisent pour le pouvoir dans Paris fraîchement libéré. C'est à qui rétablira l'ordre le premier, ou plutôt son ordre. Démasqué et menacé d'être fusillé, l'inspecteur Léon Sadorski n'en mène pas large. Le sort en a pourtant décidé autrement. En échange de l'indulgence des cours de justice, l'ex-collaborateur se voit confier par les chefs de l'insurrection une mission semée de pièges : identifier les « taupes » laissées par la police de Vichy au sein du Parti communiste.
Rien ne se passant comme prévu, Sadorski se retrouve séquestré dans un des pires centres de détention et de torture gérés par les FTP. Mais il entend bien échapper à ses geôliers afin de rechercher sa femme, Yvette, disparue dans les purges des premières heures de la Libération. Pour cela, Sadorski aura besoin d'argent, de beaucoup d'argent...
« Vos banques de données sont pleines à craquer des mêmes catégories éculées dans lesquelles vous aviez un jour vu une menace : extrême gauche, extrême droite, salafistes, islamistes, terroristes, fascistes, altermondialistes, anarchistes, nationalistes, souverainistes, passéistes, et j'en passe. Vos cerveaux en sont saturés. Vos schèmes mentaux s'en sont figés. Il n'y a plus de place là-dedans pour les nouveaux clivages qui apparaissent ».
Qui sont les Cinq Soeurs ? Et que cachent-elles ? En nous narrant les dernières tribulations de Harry Boone, le plus nonchalant des agents secrets, Percy Kemp, qu'anime semble-t-il le même esprit qui avait inspiré John le Carré, nous livre là un roman d'espionnage qui, tout comme dans la métaphore de l'oignon, se lit en épluchant une couche de duperie après l'autre, une poupée russe en cachant immanquablement une autre. Page après page il n'a de cesse de nous surprendre et de nous régaler de son humour, de son intelligence et de son sens du suspens.
« Si les gens n'ont plus peur de vous, disait Lao Tseu, c'est sûrement qu'un pouvoir plus grand se profile à l'horizon ».
" Totalement addictif... Une fois que vous aurez commencé à lire, vous ne vous arrêterez plus. " Lisa Gardner.
Agente surdouée du MI6 britannique, Emma Makepeace doit exfiltrer en catastrophe un jeune médecin russe qui travaille dans un hôpital de Londres. Michael Primalov ignore que cette inconnue de vingt-cinq ans a pour mission de le soustraire à une équipe d'assassins diligentée par Moscou.
Les Russes ont envoyé leurs meilleurs agents et ils ont piraté les caméras de Londres, la capitale la plus surveillée du monde. Dans la ville endormie commence une folle course poursuite. Emma se bat pour garder Michael en vie, mais les Russes ont toujours une longueur d'avance.
Dans une intrigue menée pied au plancher, chaque page marque un rebondissement. Alias Emma est un roman d'espionnage d'aujourd'hui, salué par tous les maîtres du genre. Vous n'avez pas fini d'entendre parler d'Emma Makepeace.
Les premiers flocons ont quelque chose de féerique. Ils rapprochent les couples dans la chaleur des veillées, étouffent les bruits, étirent les ombres et masquent les traces. Dans le jardin familial des Becker, un bonhomme de neige fait son apparition, sorte de croquemitaine blanc, ses grands yeux noirs braqués vers les fenêtres du salon. Le lendemain matin, la mère a disparu ; seule reste une écharpe rose autour du cou du bonhomme de neige...
Trop de femmes en Norvège, depuis des années, n'ont plus donné signe de vie le jour des premières neiges. Harry Hole reçoit une lettre qui lui annonce d'autres victimes. D'une sobriété étonnante, l'inspecteur va se retrouver confronté, pour la première fois de sa carrière, à un tueur en série agissant sur son territoire. L'enquête le conduira jusqu'au gouffre de la folie.