Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l'Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l'implacable crue de la rivière Blackwater.
Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s'apprêtent à se relever... mais c'est sans compter l'arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d'une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ¬addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le premier épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Tel un organisme vivant, le clan Caskey se développe et se transforme. Certains font face à la mort, d'autres accueillent la vie. Entre rapprochements inattendus, haines sourdes et séparations inévitables, les relations évoluent. Miriam, désormais à la tête de la scierie et noyau dur de la famille, ne cesse de faire croître la richesse. Suite à une découverte surprenante et miraculeuse - sauf pour une personne -, c'est bientôt la ville entière qui va prospérer. Mais cette soudaine fortune suffira-t-elle, alors que la nature commence à réclamer son dû ?
Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l'Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l'implacable crue de la rivière Blackwater.
Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s'apprêtent à se relever... mais c'est sans compter l'arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d'une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ¬addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le premier épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
La guerre est finie, vive la guerre ! Une nouvelle ère s'ouvre pour le clan Caskey : les années d'acharnement d'Elinor vont enfin porter leurs fruits ; les ennemies d'hier sont sur le point de devenir les amies de demain ; et des changements surgissent d'où personne ne les attendait. Le conflit en Europe a fait affluer du sang neuf jusqu'à Perdido. Désormais les hommes vont et viennent comme des marionnettes sur la propriété des Caskey, sans se douter que, peut-être, leur vie ne tient qu'à un fil.
Si le clan Caskey accuse le poids des ans, il est loin de s'être assagi : révélations écrasantes, unions insolites et réceptions fastueuses rythment leur vie dans une insouciance bienheureuse. Mais quelque chose surplombe Perdido, ses habitants et ses rivières. Le temps des prophéties est enfin venu.
Laissant derrière eux leur maison de rêve, Anne et Gilbert emménagent à Ingleside, à Glen St Mary. Et ils ne sont pas seuls ; désormais mère d'une fratrie de six enfants, entourée d'amis précieux et atypiques, la petite orpheline assoiffée d'amour et de tendresse semble avoir étanché sa soif. Voici le sixième volume des aventures d'Anne Shirley !
Après trois années passées à Summerside à faire des rencontres toutes plus surprenantes les unes que les autres, Anne Shirley quitte le lycée dont elle avait la direction et la charmante pension de Windy Willows et s'apprête à entamer un nouveau chapitre de sa vie aux côtés de son fiancé, Gilbert Blythe, à Four Winds, dans un coin de paradis de l'Île-du-Prince-Édouard.
Ses brillantes études universitaires terminées, Anne Shirley se voit confier la direction du lycée de Summerside, une petite bourgade de l'Île-du-PrinceÉdouard, d'apparence paisible, mais qui va lui réserver bien des surprises. Elle nous fait tour à tour découvrir Windy Willows, la pension où elle va vivre pendant trois ans - ainsi que ses trois occupantes -, la petite Elizabeth, sa féerique voisine, Katherine Brooke, sa collègue désabusée, et ses élèves, qu'ils soient touchants ou tout à fait exaspérants. Avec un humour toujours plus fin, des envolées lyriques et nostalgiques, Anne de Windy Willows offre le portrait intimiste d'une jeune femme tout en nuances : généreuse et directe, fiancée, oui, mais surtout indépendante.
Vendu à 60 millions d'exemplaires à travers le monde, adapté des dizaines de fois , aimé par des générations de lecteurs, Anne de Green Gables de Lucy Maud Montgomery est un hymne à la joie et au pouvoir de l'imagination. Magnifiquement écrit, construit autour d'une héroïne parfaitement imparfaite, féministe involontaire et romantique impénitente, ce roman empreint de poésie et d'humour est bien plus que la vie d'une orpheline qui va bousculer le calme de son nouveau foyer. C'est un autre monde, fait d'une nature enchanteresse et d'idées saugrenues qui se déploie à travers les yeux de l'incroyable Anne. Littérature solaire et intemporelle, ce roman unique est une parenthèse magique, un souffle chargé d'énergie, un élan à vivre pleinement nos amitiés et nos passions.
Lumineuse peinture des relations humaines au coeur des années 1960, Les Frères K nous emporte avec tendresse dans la famille Chance. Entre un père aux rêves brisés et une mère obsédée par la religion, entre sirènes de la liberté et fanatisme, chaque enfant doit choisir sa propre manière d'appréhender un monde plein de contradictions. Drôle, émouvante et superbement écrite, l'histoire de ces deux décennies d'amour, de colère et de regrets contée par David James Duncan est aussi frappante d'originalité que poignante d'universalité. oeuvre solaire qui nous accueille à bras ouverts et dans laquelle on se réfugie pour retrouver délicatesse et humanité, Les Frères K est une ode à la bonté capable d'adoucir les instants du quotidien et d'en révèler ses éclats éblouissants.
Avec ce deuxième roman, Lucy Maud Montgomery continue de déployer sous nos yeux fascinés l'univers enchanteur qu'elle a créé autour d'Anne Shirley, l'orpheline idéaliste aux yeux clairs et aux cheveux roux adoptée par erreur. Entre les amis de toujours, qu'on aime retrouver, et les nouveaux venus, si intéressants, entre les idées saugrenues qu'on ne peut museler, et le bon sens qui, désormais, pointe son nez, Anne nous entraîne dans les aléas de la vie douce et enchanteresse d'un village un peu hors du temps. À travers les joies et les peines qui font la trame du quotidien, le style si frais et poétique de Lucy Maud Montgomery porte la voix d'Anne dans les péripéties, les rêveries et les moments de tendresse. Après Green Gables, quel plaisir d'enfin découvrir Avonlea !
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, est une fan absolue des fantômes, vampires et autres morts-vivants. Elle se voit d'ailleurs comme un petit loupgarou : d'après elle, dans ce monde, il est plus facile d'être un monstre que d'être une femme. Un jour de Saint Valentin, au retour de l'école, Karen apprend la mort de sa belle voisine, Anka Silverberg, une survivante de l'Holocauste. Elle décide alors de mener l'enquête et va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka au coeur de l'Allemagne nazie, son quartier en pleine ébullition et les drames qui, tapis dans l'ombre de son quotidien, la guettent, les monstres bons ou « pourris » sont des êtres comme les autres, complexes, torturés, fascinants. Conçu comme le journal intime d'une artiste surdouée, c'est un livre époustouflant.
Anne Shirley, qui a désormais 18 ans, poursuit ses rêves d'études supérieures et d'envolées créatives. Et c'est en compagnie de Gilbert Blythe, Charlie Sloane et Priscilla Grant qu'elle découvre Redmond, l'Université de Kingsport en Nouvelle-Écosse. Au programme : cours, écriture, nouvelles rencontres et surtout, toutes sortes de mésaventures ô combien romantiques. Sans oublier les retours à Green Gables pour se ressourcer, entretenir les vieilles amitiés, garder sur le droit chemin un turbulent petit garçon... et recevoir sa première demande en mariage! Avec toujours autant de style et d'humour, Lucy Maud Montgomery signe de son écriture merveilleuse un charmant trésor littéraire à la fois poétique et tendre sur les joies et les peines du passage à l'âge adulte d'une fascinante jeune fille.
En rentrant chez elle un soir, la famille Navidson découvre qu'une nouvelle pièce a surgi dans leur maison. L'explication la plus étrange devient rapidement la plus évidente:
Leur foyer est plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur. Lorsqu'une nouvelle porte apparaît dans le salon et donne sur un couloir obscur, Will Navidson, photoreporter de renom et aventurier intrépide, décide de mettre sur pied une équipe d'explorateurs afin d'étudier ce passage sans fin où l'obscurité semble vouloir déchirer les rêves et dévorer la raison. Entre récit fantastique, énigme littéraire et mise en abyme, ce roman captivant se confie comme un trésor de générations en générations. Aujourd'hui et pour la première fois, il est offert aux lecteurs français dans une édition entièrement remasterisée en couleurs.
Il a appris la vie à la dure, son passé brûlerait les doigts de n'importe qui. Entre sa mère qui finit ses jours en taule, et ces saletés de guerres qui lui ont balancé au visage toute l'insoutenable dureté de l'être, le retour à la normale est impossible. Il fait partie de ceux qui portent en eux la malédiction de leurs origines. Mais loin d'abandonner, il va se battre pour préserver un petit noyau de fierté qui palpite en lui. Peu importe ce que cela coûte, les jobs de merde et les femmes aimantes, il doit défendre cette infime fraction d'indépendance. Et c'est l'écriture qui surgit, c'est elle qui sauve, absout et répare. Et lui, c'est Jarl Carlson, c'est aussi Fred Exley, Martin Eden et Holden Caufield, c'est un de ces damnés de la terre pour qui la littérature compte plus que tout.
C'est parfois dans les collines verdoyantes et idylliques que se terrent les plus terrifiantes menaces.
C'est là aussi que va se dérouler cette vibrante épopée de courage, de loyauté et de survie. Menés par le valeureux Hazel, une poignée de braves choisit de fuir l'inéluctable destruction de leur foyer. Prémonitions, ruses, légendes vont aider ces héros face à mille ennemis et les guider jusqu'à leur terre promise, Watership Down. Mais l'aventure s'arrêtera-t-elle là ?
Aimé par des millions de lecteurs, l'envoûtant roman de Richard Adams fait partie de ces odyssées sombres néanmoins parcourues d'espoir et de poésie. Parfait équilibre d'aventure et de mythologie, ce bijou d'inventivité serti d'une maîtrise absolue du suspense est tout simplement le chef-d'oeuvre d'un immense d'écrivain.
Ebenezer Le Page est un être direct, tenace et... charmant. À quatre-vingts ans, il a toujours vécu sur l'île de Guernesey, un coin pierreux et délicieux coincé entre l'Angleterre et la France, et un monde véritablement à part. Ebenezer lui-même est farouchement indépendant, mais alors qu'il atteint la fin de son existence, il est déterminé à raconter son histoire et celles de ceux - parents, amis, ennemis - qu'il a côtoyés, appréciés ou détestés.
Ebenezer Le Page a beau grogner, gronder, se montrer tantôt sans pitié ou dénué d'espoir, il nous livre pourtant un récit plein d'humour, de tendresse et d'humanité, qui cache en son coeur une enthousiaste, une insatiable quête de l'autre.
Si Le Livre d'Ebenezer Le Page est la fascinante chronique d'une existence imaginaire (alors que tout semble si réel, si vrai), c'est aussi la folle ronde des gens, des événements, des rencontres, des hasards, des émotions, une sarabande qui court d'âme en âme et nous saisit par sa vivacité. Alors, entrez dans la danse, venez écouter Ebenezer, découvrir la vie fourmillante de Guernesey et laisser ces pages vous marquer avec leur douceur et leur chaleur si uniques.
Alors que la grève installée à Wakonda étrangle cette petite ville forestière de l'Oregon, un clan de bûcherons, les Stampers, bravent l'autorité du syndicat, la vindicte populaire et la violence d'une nature à la beauté sans limite. Mené par Henry, le patriarche incontrôlable, et son fils, l'indestructible Hank, les Stampers serrent les rang... Mais c'est sans compter sur le retour, après des années d'absence, de Lee, le cadet introverti et rêveur, dont le seul dessein est d'assouvir une vengeance. Au-delà des rivalités et des amitiés, de la haine et de l'amour, Ken Kesey, auteur légendaire de Vol..., réussit à bâtir un roman époustouflant qui nous entraîne aux fondements des relations humaines. C'est Faulkner. C'est Dos Passos. C'est Truman Capote et Tom Wolfe. C'est un chef-d'oeuvre.
Si ce roman singulier commence aux dernières heures de 1999 dans un luxueux appartement de Manhattan, il ne s'achèvera que dans l'infinité lugubre du cosmos. Entretemps, nous aurons eu droit à un réveillon fin de siècle, à un inventaire de maladies improbables, au sacrifice d'une oeuvre d'art sur l'autel des maîtres d'Hollywood, à une romance fleur bleue, à la démonstration salace du pouvoir des producteurs de cinéma et à un étrange voyage à demi endormi. Au centre de tout ceci, dans l'oeil aveugle de l'ouragan : Saul Karoo, tout de cynisme et de lâcheté, balle perdue de notre époque, archétype des dictateurs de notre monde, une bête pour qui vérité et mensonge sont interchangeables, et la morale rien d'autre qu'un parfum que l'on met pour séduire les âmes fragiles.
Dans la Maison, vous allez perdre vos repères, votre nom et votre vie d'avant. Dans la Maison, vous vous ferez des amis, vous vous ferez des ennemis.
Dans la Maison, vous mènerez des combats, vous perdrez des guerres. Dans la Maison, vous connaîtrez l'amour, vous connaîtrez la peur, vous découvrirez des endroits dont vous ne soupçonniez pas l'existence, et même quand vous serez seul, vous ne le serez pas vraiment. Dans la Maison, aucun mur n'est un mur, le temps ne s'écoule pas toujours comme il le devrait et la Loi y est impitoyable. Dans la Maison, vous atteindrez vos dix-huit ans transformé à jamais et effrayé à l'idée de devoir la quitter.
Intemporel cri de rage des laissés-pourcompte et des âmes médiocres, Un Jardin de sable les embrasse dans le triomphe de l'impur. Jacky, né au Kansas à l'aube de la grande dépression, porte le désespoir et la misère comme une seconde peau, il se nourrit d'un monde où prévalent la brutalité et le mépris.
Un Jardin de sable est une oeuvre puissante et sombre, un classique peuplée d'êtres acariâtres, de gamins aux mentons croûtés, de truands, de prostituées et de brutes - les ongles y sont sales, la peau, couverte de bleus, et les draps comme les âmes sont souillés au-delà de toute rédemption. Pourtant c'est une oeuvre belle de douleur et de foi en l'avenir. C'est Steinbeck et Fante. C'est Bukowski et Zola. C'est de la dynamite et de la poésie.
C'est la vie. Brutale, nauséabonde et magnifique.
Avec mordant et poigne, Exley décrit les profonds échecs de sa vie professionnelle, sociale et sexuelle. Ses tentatives pour trouver sa place dans un monde inflexible le mènent aux quatre coins du pays, mais surtout à l'hôpital psychiatrique d'Avalon Valley. Au gré des bars, des boulots et des rencontres improbables, l'obsession d'Exley pour la gloire, les New York Giants et leur joueur star, Frank Gifford, grandit. Dans ses mémoires fictifs, en plongeant la tête la première dans ce «long malaise» qu'est sa vie. Chargé en grande partie de ce qu'il appelle «les fardeaux du chagrin» et de catastrophes ordinaires, ce premier roman est un époustouflant voyage littéraire. C'est drôle. C'est touchant. C'est à la fois Nabokov et Bukowski et Richard Yates et Thomas Bernhard.
De San-Francisco au Canada, de trains de marchandises en fumeries d'opium, d'arnaques en perçages de coffres, du désespoir à l'euphorie, Jack Black est un bandit: parfois derrière les barreaux, toujours en fuite. Avec ironie, sagesse et compassion, il nous entraîne sur la route au tournant du XXe siècle.
Personne ne gagne est un hymne à une existence affranchie des conventions. Qu'il soit hors-la-loi, opiomane ou source d'inspiration pour Kerouac et Burroughs, qu'importe, qu'il vole au devant de la déchéance ou qu'il flambe comme un roi, qu'importe, Jack Black n'est guidé que par son amour de la liberté.
C'est dur, inoubliable, profondément américain. Black est peut-être un vaurien, mais aussi un conteur né qui joue avec son passé afin de nous remuer, de nous remettre sur le droit chemin.