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Dorian Gray est un jeune homme d'une très grande beauté. Son ami artiste peintre Basil Hallward est obsédé par cette dernière et en tire toute son inspiration. Sa fascination pour le jeune homme le mène à faire son portrait, qui se révèle être la plus belle oeuvre qu'il ait jamais peinte, et qu'il ne souhaite pas exposer. Va naître dès lors en lui une profonde jalousie à l'égard de son propre portrait peint par Basil Hallward. Il souhaite que le tableau vieillisse à sa place pour que lui, Dorian Gray, garde toujours sa beauté d'adolescent. « Si le tableau pouvait changer tandis que je resterais ce que je suis ! ».
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Dorian Gray is the subject of a full-length portrait in oil by Basil Hallward, an artist impressed and infatuated by Dorian's beauty; he believes that Dorian's beauty is responsible for the new mood in his art as a painter. Through Basil, Dorian meets Lord Henry Wotton, and he soon is enthralled by the aristocrat's hedonistic world view: that beauty and sensual fulfilment are the only things worth pursuing in life. Newly understanding that his beauty will fade, Dorian expresses the desire to sell his soul, to ensure that the picture, rather than he, will age and fade. The wish is granted, and Dorian pursues a libertine life of varied amoral experiences while staying young and beautiful; all the while, his portrait ages and records every sin.
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Un ministre américain et sa famille achètent à Lord Canterville son château et tout ce qu'il contient... fantôme compris. Mais la famille Otis n'a vraiment pas peur des fantômes. Alors, lorsqu'un spectre qui a l'habitude de terroriser tout le monde se trouve confronté à deux jumeaux qui ne pensent qu'à lui jouer de mauvais tours, il est plus que déconcerté. Humour anglais au programme ! Oscar Wilde s'en donne à coeur joie en décrivant les malheurs d'un spectre qui ne sait que faire pour effrayer une famille qui lui offre de l'huile pour lubrifier ses chaînes : le bruit empêche tout le monde de dormir ! Dans le registre du rire grinçant, le deuxième conte, Le Crime de Lord Arthur Savile, narre les mésaventures d'un homme à qui l'on a prédit, en lisant dans les lignes de sa main, qu'il allait commettre un crime. Du coup, il se sent obligé de tuer quelqu'un, pour se délivrer de cette malédiction. Et l'on termine avec une courte histoire mettant en scène un millionnaire modèle.
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Une femme sans importance est la deuxième des Comédies de Société de Wilde. Bien moins connue en France que l'Importance d'être constant, elle est moins intéressante pour son histoire que pour son esprit. Wilde y déploie à travers ses personnages tout l'art de la conversation : aphorismes, paradoxes, généralités délicieuses. Mais à la fin du second acte, le drame commence : une femme partie seule avec son enfant après que le père ait refusé de l'épouser retrouve cet homme. Tout le poids de la morale anglaise, injuste et sexiste, pèse sur ses épaules. Face à ce fils de 20 ans, le père saura t-il assumer ses responsabilités ? La mère le tolérera t-elle encore dans sa vie?
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L'Âme de l'homme sous le socialisme (The Soul of Man under Socialism) est un essai d'Oscar Wilde publié en 1891 défendant une vision individualiste libertaire dans un monde socialiste. Dans cet essai étonnant qui paraît en 1891, treize ans avant la sortie du premier numéro du journal L'Humanité fondé par Jaurès, Oscar Wilde avait prévu que les cyniques des démocraties occidentales survivraient à leur électorat. L'auteur défend passionnément une société égalitaire dans laquelle la richesse serait partagée entre tous, tout en mettant en garde contre les dangers d'un socialisme autoritaire qui détruirait toute individualité. Il précise plus tard « Je pense que je suis un peu plus qu'un socialiste. J'ai quelque chose d'un anarchiste, je pense ». Wilde y défend aussi l'idée d'un socialisme radicalement original, centré sur l'idéal de l'artiste et de l'homme cultivé, contre tout despotisme qui le contraindrait, fût-ce celui du peuple ou des bons sentiments. Cet essai aborde d'autres aspects de la politique, bien que Wilde centre son examen critique sur la condition de l'artiste dans la société anglaise de son temps. Extraits « Le principal avantage qui résulterait de l'établissement du socialisme serait, à n'en pas douter, que nous serions délivrés par lui de cette sordide nécessité de vivre pour d'autres, qui dans l'état actuel des choses, pèse d'un poids si lourd sur tous presque sans exception. En fait, on ne voit pas qui peut s'y soustraire ». « Le socialisme en lui-même aura pour grand avantage de conduire à l'individualisme. » « La véritable perfection de l'homme consiste non dans ce qu'il a, mais dans ce qu'il est. » « Quand Jésus parle de pauvres, il entend simplement par là des personnalités, tout comme sa mention de riches s'applique à des hommes qui n'ont pas développé leurs personnalités. » « Il y a dans une nation, une seule classe qui pense plus à l'argent que les riches, et ce sont les pauvres. » « Tous les systèmes de gouvernement sont des avortements. » « On avait jadis fondé de grandes espérances sur la démocratie, mais le mot de démocratie signifie simplement que le peuple régit le peuple à coups de triques dans l'intérêt du peuple. » « L'État a pour objet de faire ce qui est utile. »
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Alors que le jeune Dorian Gray pose pour un splendide portrait de lui-même, il est envoûté par les discours hédonistes d'un mystérieux dandy qui l'engage dans un pacte diabolique.
"Que c'est triste ! Un jour, je deviendrai vieux, horrible, effrayant. Mais ce portrait restera toujours le même ! Si c'était le portrait qui changeait et que je restais toujours le même...! pour cela je donnerais tout. Oui, il n'y a rien au monde que je ne donnerais. Je donnerais mon âme pour cela !"
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L'Âme humaine sous le régime socialiste : Plaidoyer pour un socialisme humaniste
Oscar Wilde
- Books On Demand
- 9 Janvier 2025
- 9782322542246
« L'Âme humaine sous le régime socialiste » d'Oscar Wilde est un essai provocateur et visionnaire qui explore les relations entre le socialisme, l'individualisme et l'art. Publié en 1891, cet ouvrage offre une réflexion originale sur la société idéale, remettant en question les idées reçues sur le socialisme et la liberté individuelle.
Dans cet essai percutant, Wilde développe une vision du socialisme qui va bien au-delà des considérations économiques. Il argue que le véritable objectif du socialisme devrait être la réalisation pleine et entière de la personnalité humaine. Pour lui, l'abolition de la propriété privée n'est qu'un moyen pour atteindre une fin plus noble : la libération de l'individu des contraintes matérielles qui l'empêchent de s'épanouir.
Wilde critique vivement le système capitaliste, qu'il considère comme un frein à l'expression authentique de l'individualité. Il soutient que la pauvreté et l'inégalité générées par le capitalisme étouffent la créativité et l'épanouissement personnel. Dans sa vision, le socialisme permettrait de créer les conditions matérielles nécessaires pour que chacun puisse développer ses talents et ses passions.
L'auteur aborde également le rôle de l'art dans cette société idéale. Pour Wilde, l'art est l'expression suprême de l'individualisme, et il considère que le socialisme devrait favoriser un environnement où l'art peut s'épanouir librement, sans les contraintes du marché ou de l'utilité sociale.
« L'Âme humaine sous le régime socialiste » s'inscrit naturellement dans les catégories « Philosophie politique », « Essais littéraires » et « Critique sociale » sur les plateformes de vente en ligne. Cet ouvrage reste une lecture essentielle pour comprendre les liens entre politique, économie et culture, et pour réfléchir aux possibilités d'une société plus juste et plus épanouissante.
Wilde y déploie son style caractéristique, mêlant ironie mordante et réflexions profondes. Il remet en question les idées conventionnelles sur le travail, la propriété et le progrès, proposant une vision radicale de la société où l'individualité et la créativité seraient au centre des préoccupations.
Ce texte visionnaire continue d'alimenter les débats sur la nature du socialisme et son potentiel émancipateur. Sa pertinence pour analyser les tensions entre collectivisme et individualisme dans nos sociétés contemporaines en fait un ouvrage d'une étonnante actualité. -
Le déclin du mensonge plume, crayon, poison (etude en vert) : le critique artiste avec quelques remarques sur l'importance de ne rien faire
Oscar Wilde
- Books On Demand
- 17 Août 2022
- 9782322425990
Intentions est un recueil d'essais d'Oscar Wilde publié en 1891 et traduit en français chez Stock en 1905 sous le même titre par Jean-Joseph Renaud. Hugues Rebell est l'auteur d'une autre traduction parue en 1906 chez C. Carrington.
Ce recueil contient :
Le Déclin du mensonge (The Decay of Lying) Le Critique comme artiste (The Critic as Artist) Pen, Pencil, and Poison La Vérité des masques (The Truth of Masks). -
L'Âme humaine sous le régime socialiste : Plaidoyer visionnaire pour une utopie sociale libératrice de l'individualité et de la créativité
Oscar Wilde
- Books On Demand
- 13 Novembre 2024
- 9782322516728
« L'Âme humaine sous le régime socialiste » est un essai visionnaire d'Oscar Wilde qui explore les liens entre socialisme, individualisme et liberté artistique. Publié en 1891, cet ouvrage audacieux propose une critique acerbe du capitalisme et de la charité traditionnelle, tout en esquissant les contours d'une société idéale.
Wilde y développe une vision originale du socialisme, non pas comme une fin en soi, mais comme un moyen de libérer l'individu des contraintes matérielles pour lui permettre de s'épanouir pleinement. Il affirme que « le socialisme lui-même n'aura de valeur que parce qu'il conduira à l'individualisme ». Cette approche novatrice s'inscrit dans la lignée des essais philosophiques tout en anticipant les réflexions sur l'utopie sociale.
L'auteur dénonce avec verve les méfaits du système capitaliste, qu'il juge responsable de la pauvreté et de l'exploitation. Il s'attaque également à la notion de charité, qu'il considère comme un palliatif inefficace perpétuant les inégalités. Pour Wilde, seule une refonte complète de la société peut résoudre ces problèmes à la racine.
La partie la plus fascinante de l'essai est sans doute celle où Wilde imagine une société future libérée du besoin matériel. Dans ce monde utopique, chacun pourrait se consacrer à l'art, à la science ou à la philosophie, développant ainsi pleinement son potentiel créatif. Cette vision s'inscrit parfaitement dans le mouvement esthétique dont Wilde était l'un des chefs de file.
« L'Âme humaine sous le régime socialiste » ne se contente pas de critiquer : il propose une réflexion profonde sur la nature humaine et les conditions nécessaires à son épanouissement. Wilde y démontre toute la puissance de sa plume, mêlant analyse sociale incisive et envolées lyriques sur la beauté et l'art.
Cet essai avant-gardiste continue de fasciner les lecteurs d'aujourd'hui, qu'ils s'intéressent à la littérature engagée, à la philosophie politique ou à l'histoire des idées. Il offre un éclairage unique sur la pensée d'un des plus grands écrivains de l'époque victorienne, tout en soulevant des questions toujours d'actualité sur l'organisation de la société et la place de l'art.